jeudi 25 février 2010

En mémoire de Peanut

Voici une des plus belles photos de notre chienne Peanut. Couchée dans l'herbe devant les glaïeuls, elle a tellement l'air bien et heureuse!

Dimanche dernier, le 21 février 2010, nous avons du prendre une décision qui brise le coeur. Nous avons fait euthanasier notre petite chienne Peanut. Depuis quelques temps, elle avait l'air moins en forme par moments. On ne s'imaginait pas à quel point elle était malade car elle ne se sentait pas nécessairement diminuée en tout temps. Parfois elle était normale et même, en forme comme d'habitude sauf qu'à certaines périodes, on voyais qu'elle avait un peu de misère à marcher et à grimper. J'ai l'impression que tout à commencé après qu'elle ait eu une extinction de voix. On pensais qu'elle avait trop jappé et que tout rentrerait dans l'ordre. Par après, elle ralentissait et son petit coeur battait vite. Un certain matin, soit le jeudi 18 février, elle est tombée sur le tapis à l'entrée avant de faire sa sortie matinale. Michel l'a réanimée pensant qu'elle avait seulement eu une faiblesse et elle a repris vie, un peu abasourdie et elle a continué sa routine comme si de rien n'était. Elle mangeait, jappait et faisait tout comme d'habitude mais le samedi suivant, dans la soirée, elle s'est mise à respirer très fort et avait une toux bizarre. Son petit coeur battait très vite et ça l'a énormément épuisée. On a tenté de rejoindre un vétérinaire, sans succès, car un samedi soir bien entendu, tout était fermé. L'urgence mentionnait de laisser un message alors on a attendu le lendemain pour appeler. Michel a passé la nuit à veiller sur elle. Elle a perdu conscience à quelques reprises mais elle restait toujours éveillée. Dimanche, donc, j'appelle chez le vétérinaire et je laisse désespérément un message. Heureusement on m'a rappelé assez vite et j'explique la situation. On m'as mis en contact avec un docteur. Le rendez-vous a été pris immédiatement. Michel a pris son courage à deux mains et il est allé à l'hôpital vétérinaire pour demander d'abréger les souffrances de Peanut. C'est avec un immense chagrin que nous avons vécu ce drame. On s'attache tellement aux animaux, on les chéris et ils nous le rendent bien. Tout c'est déroulé avec sérénité et la vétérinaire a rassuré Michel qu'il avait pris la bonne décision étant donné l'énorme souffrance de Peanut.

Ainsi, cette petite chienne, que nous avions sauvé d'une mort certaine en juin 2008 alors qu'elle a été perdue ou abandonnée, a passé un an et demi avec nous. Nous avons fait de notre mieux pour qu'elle ait de l'affection et de l'amour pour les derniers jours de sa vie. Elle a fait partie de nous et on l'a soignée et gatée pour qu'elle se sente bien.

Ma belle petite Peanut, tu étais toute menue. Tu as été un rayon de soleil dans notre vie et nous ne t'oublierons jamais. Aucun animal ne te remplacera et tu seras toujours dans nos coeur. On t'aime!!!

Bon repos Peanut XXXXXX

En terminant, on va laisser le temps passer un peu pour vivre notre deuil et on se donne la mission de recueillir dans quelques temps, un autre animal qui a été abandonné pour l'accueillir dans notre demeure.

lundi 15 février 2010

Fudge aux noix

Après avoir acheté une boite de lait évaporé et ne savoir qu'en faire, j'ai recherché sur recettes.qc.ca une recette avec ingrédients "lait évaporé et cacao". Comme je voulais une recette personnelle, j'ai donc fais, à partir d'une recette déjà existante, une adaptation à ma façon.

Fudge aux noix

5 cuil. à soupe de beurre fondu
1/2 tasse de lait évaporé
1 tasse de cassonade
1 1/2 tasses de sucre à glacer
1/2 tasse de cacao
1 cuil. à thé de vanille
1 tasse de noix hachées

Mélanger le cacao et le sucre en poudre, réserver.
Mélanger le beurre fondu, la cassonade et le lait évaporé. Cuire 5 min. au micro-onde.
Ajouter le mélange sucre en poudre + cacao et la vanille et brasser 3 minutes à la mixette à puissance maximum.
Ajouter les noix et mélanger.
Verser dans un moule et laisser refroidir quelques heures.

Je ne vous cacherai pas que c'est "écoeurant". Impossible à manquer.

Adapté pour un four micro-onde de 1000 watts.

vendredi 5 février 2010

Il était une fois...Guy Lafleur

J'ai grandement apprécié le DVD sur la vie de Guy Lafleur. "Il était une fois...Guy Lafleur". Le démon blond, cet homme intègre et honnête, a su conquérir le coeur de tous les québécois. Souvent on l'a déçu, on lui a fait de la peine et par la façon dont il raconte sa vie, on voit qu'il n'a aucune méchanceté et aucune rancune envers les gens qui lui ont souvent, par jalousie sûrement, mené la vie dure. Autant dans le monde du sport qu'avec son fils et ses démêlées avec la justice.

Il est né le 20 septembre 1951 et a grandi à Thurso. Il a reçu sa première paire de patins en décembre 1958. Depuis la, c'est un coup de coeur pour le hockey que le jeune s'apprête à vivre. Il a toujours vécu pour le hockey au détriment de délaisser quelque peu sa famille. Avec son honnêteté, il a toujours expliqué à ses proches que ce qui comptait le plus pour lui c'était le hockey. Son père a toujours assisté à ses matchs et c'était sa façons de prouver à Guy qu'il l'aimait car il ne parlait pas beaucoup. Comme disait Guy, il n'avait pas besoin de me parler, je le savais qu'il m'aimait.

Ayant plusieurs trophées à son actif ainsi qu'une place au temple de la renommée, cet homme, très humble, ne semble pas réaliser le succès qui l'habite. Il en parle avec simplicité. A son arrivée dans le vestiaire des Canadiens il raconte : Il fallait que je me pince pour y croire. Et il se pince encore souvent même si il est devenu une légende.

Quand les fans s'approchaient de lui pour qu'il signe des autographes, il prenait papier et crayon et, après s'être exécuté, il refilait le tout à ses coéquipiers pour qu'ils signent à leur tour. Cela m'a beaucoup touché. Il aime beaucoup ceux avec qui il a partagé la glace, encore aujourd'hui il les admire et les respecte énormément.

Lorsqu'il a eu des problèmes avec son fils Mark, cet homme a été démoli. Il est maintenant rendu avec un casier judiciaire pour avoir tenté de protéger son fils. Lui et son épouse Lise on tout fait pour aider leur fils mais la justice a tranché dans le mauvais sens. D'ailleurs son épouse a perdu l'usage de la voix pendant 8 mois à cause de tous ces ennuis. Ces deux courageux parents sont exceptionnels d'avoir ainsi supporté le malheur de leur fils. Ce garçon a-t'il conscience de ce qu'il a fait subir à ses parents? J'espère que oui car il est trop tard pour reculer. Je lui souhaite de s'en sortir.

Souhaitons à Guy et sa famille, tout le bonheur qu'ils méritent car ces gens d'exceptions se doivent d'être heureux. Comme disait Guy : Ce qui m'a permis de resté debout pendant toutes ces épreuves, c'est l'amour de mes fans. BRAVO GUY, j'espère que nous te le rendons bien.

(Le coffret est offert avec deux DVD, film et suppléments, et un petit livret de photo et biographie très intéressant qui se termine par la fameuse lettre écrite de sa main pour expliquer son geste vis-à-vis la justice. L'interview est mené par nul autre que Réjean Tremblay. La chanson thème du film est écrite et interprétée par Claude Dubois. Je vous le recommande)