Après une convalescence difficile et malgré tous les efforts tentés, notre petite maman MARIE-ALICE nous a quitté le 11 juin en soirée.
Nous avions bon espoir après la période d'hospitalisation et de convalescence suite à sa pneumonie du mois de mars qu'elle reprendrait du mieux et que nous allions enfin l'installer dans un beau studio au manoir Sully. Malheureusement le sort en a décidé autrement.
J'ai de la misère à réaliser que lundi dernier, soit le 3 juin, elle était en pleine forme et jamais on aurait pensé qu'elle partirait si vite. Nous sommes victimes du système de santé et quand on tombe malade, personne ne sait s'il s'en sortira. Malheureusement c'est ainsi de nos jours. Faut juste espérer ne pas vivre trop de souffrance afin d'avoir une belle fin de vie.
Maman est partie tout doucement, les précieux conseils des docteurs et infirmiers qualifiés de l’hôpital St-François d'Assise nous ont fait prendre la bonne décision, soit de ne pas la faire souffrir inutilement car son cas était très précaire et sans retour.
ADIEU...ma belle petite maman d'amour, comme je l'appelais toujours chaque fois que je la voyais ou lui parlais au téléphone. Sois heureuse peu importe ou tu es. Tu ne souffre plus et tu vis maintenant à jamais dans nos coeurs.
Milles baisers je t'aime! XXXXXX
Voici un petit texte qui aide à supporter le départ d'un être cher et qui nous fais espérer que, même disparus, on est encore présent:
Comme un voilier part dans la lumière du matin
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon côté dit :
"Il est parti !"
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout...
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti !",
il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie :
"Le voilà !"...
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon côté dit :
"Il est parti !"
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout...
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti !",
il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie :
"Le voilà !"...